La Douceur est merveilleuse. Elle est nécessaire, réparatrice, vitale.

Être doux, se laisser envelopper dans le doux, cela rend fort, cela rend heureux.

La douceur est un monde chaud, un ventre protecteur, une bulle. Avec la tendresse, la douceur n’a pas fini de régner. Elles sont Reines dans ces jours gris fanés. La douceur n’est pas une faiblesse, c’est un champ de graines à semer, à cultiver et à offrir.

Etre doux, ce n’est pas être faible. C’est avoir de l’amour à donner. Parce que cela nous fait du bien.

La DOUCE poésie s’envole aux quatre vents et partout dans le monde, elle existe, elle éclot, elle renaît, elle apparaît aux regards amoureux, aux coeurs consolés, aux tendres et aux sensibles, aux brusqués et aux abîmés.

Elle se niche dans les choses minuscules, elle n’attend qu’un regard, une attention infime dans les jours oubliés.

Choses minuscules :

Un pétale un chemin une branche suspendue le clapotis de l’eau le chant d’une tourterelle la première gorgée d’un bol de thé un rayon de soleil une danse sous la pluie une phrase parfaite un gâteau réussi un film émouvant un visage intriguant un parfum délicat la mousse du café un cinéma à deux une nuit étoilée une brume transparente un bain chaud une bonne nuit de sommeil un poème inspirant une goutte suspendue un feu de cheminée une averse d’été des bras réconfortants le moelleux d’un lit la première gorgée brûlante un café-ami des rires déployés un partage la douceur d’un livre un ciel de traîne un soleil déclinant un bon film les pensées qui s’évadent un oiseau qui se pose le rebord du balcon un bourgeon naissant une fleur nouvelle un bureau accueillant une lettre un message un sommeil tranquille.  C’est doux.

La douceur a sa place, dans ce monde. Il n’y a d’ailleurs besoin que de cela :  Croire encore, voir le bon, la beauté et sentir la douceur autour de soi.

On s’écrit ?

Demande-moi ! Je t’adresse un courrier, une petite carte pleine de DOUCEUR : Laisse moi ton adresse ici et je t’envole un billet doux (cenina@songesvoyageurs.fr)